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« Balade Himalayenne »
Vaste plateau dont l’altitude moyenne dépasse les 4500 mètres, le Tibet représente encore l’une des dernières grande régions inexplorées de la terre. Contrée impénétrable, annexé par la Chine en 1950, privée de son chef spirituel le Dalaî Lama depuis 1959, la Chine à réouvert les frontières de ce qui est à présent, l’une de ses provinces les plus étendues. Le toit du monde reste difficile d’accès au tourisme individuel car la Chine filtre les entrées.
Après avoir obtenu son visa, le plus impressionnant pour le voyageur reste son arrivée dans la capitale. Lhassa ( demeure des dieux ) en Tibétain, grouille d’une activité intense. Liberté de culte et petits commerces individuels Tibétains, supprimés en 1950 à la prise du pouvoir par les Chinois, restent très contrôlés. Aujourd’hui les pèlerins ont repris leurs activités devant et autour du jokland ( maison des offrandes ) . Bâti en 650 de notre ère, ce lieu de culte fut offert par le roi Strontsan gampo à ses deux épouses ( l’une Chinoise l’autre Népalaise ) en témoignage de son attachement au Bouddhisme. Une échelle raide, étroite et usée par des milliers de pas, s’élève vers les toits dorés du bâtiment d’où l‘on entend tintinnabuler des milliers de clochettes pour écarter les mauvais esprits. De là, on a une des plus belles vues sur le Potala.
Dans la vallée, pendant le période des moissons, des scènes de champs évoquent des tableaux de Courbet ou de Millet. Les Tibétains rythment leur travail de chants aussi beaux que des chants Grégoriens. Dans cette ambiance joyeuse, hommes, femmes et enfants moissonnent lentement des océans d’orge et de blé dorés par le soleil.
Le peuple Tibétain reste beau et fier. Son combat par la non violence pour un Tibet libre et un soutien important de l’opinion mondiale permettront peut être un jour le retour du Dalaï Lama auprès de son peuple.
« L’inde au quotidien »
À travers le monde et au cours des siècles, l’Inde a fait connaître sa grandeur. La philosophie hindouisme intrigua l’Occident des siècles avant le début de l’ère chrétienne. Elle est restée une source d’émerveillement pour nous. La géographie du sous-continent indien ne présente aucune unité. Du nord au sud, s’étend une mosaïque de montagnes, de plaines, de déserts et de cotes fertiles battues par les marées. Dans le nord de l’Inde, au Cachemire et en particulier à Srinagar, la vie se déroule autour de l’eau, ainsi beaucoup d’activités comme la pêche, le tourisme, ou l’agriculture y sont prospères. Au sud-Ouest de la principale barrière montagneuse s’étendent les hautes et sèches plaines du Rajasthan. Elles furent pour un temps, le fief des maharadjahs rajpoutes. Mais aujourd’hui ceux-ci ont perdu leur puissance et la terre n’est guère plus qu’un désert. En ces temps, il ne reste des rajpoutes qu’une tradition romanesque qui survit dans des ballades, des légendes et dans la foire aux chameaux qui se tient chaque année à Pushkar.
« Graffiti »
Les graffitis ont une très grande importance en archéologie, ils font partie des témoignages écrits populaires. Les graffitis contemporains sont réalisés sur des murs, des portes de bâtiments ou des véhicules de transport en commun. Le graffiti est un moyen d expression voir de revendication indirect. Dans la culture Hip hop, il se présente sous une forme d expression urbaine qui puise son inspiration dans la rue. Ce type est né à New York dans les années 1960. Dans certains pays c’est un moyen de revendication politique souvent liés à des injustices. Le graffiti est devenu avec le temps un art, il faut s’arrêter pour en percevoir les messages. Il faut souvent en profiter car le graffiti est considéré comme un art éphémère.
« Magie du Maroc »
Le Maroc, pays déconcertant qui évoque les palais Chérifiens entourés de somptueux jardins, les souks desquels s’échappe l’odeur mystérieuse des épices. Au milieu des couleurs, à s’enivrer des odeurs des marchés, tout étranger ne peut rester indifférent à ce pays. Il faut sortir des sentiers battus et s’égarer sur les petits chemins de l’Atlas pour être invité à boire le thé de l’amitié par ce peuple si agréable. Les montagnes de l’Atlas, les déserts aux couleurs ocre et les marchés plein de vie raviront le touriste qui prendra le temps de les découvrir.
« Le Royaume du Siam »
La Thaïlande c’est avant tout le pays du sourire et de la douceur de vivre. C’est l’endroit au monde où les cas d’ulcère, de dépression et d’hypertension sont les plus rares. C’est aussi le pays du bouddhisme. Bouddha, homme qui a obtenu le boddhi (l’éveil). Le bouddhisme est basé sur l’introspection personnelle d’une part et la compassion universelle. A tous les êtres, il propose un moyen pour ne plus souffrir. Mon enseignement n’a qu’une faveur dit bouddha, celui de la délivrance de la souffrance. Les bouddhistes n’ont jamais voulu imposer leur pensée par la force ou la violence, jamais une goutte de sang n’a été versée en son nom…C’est en parcourant ce pays que le voyageur s’aperçoit de la beauté des paysages, de l’immensité de la culture Thaï et de la réflexion bouddhiste qui fait de ce pays un des endroits les plus agréables au monde pour le voyage. « La senteur des fleurs, ou du santal, ou de l’encens, ou du jasmin ne remonte pas le vent. Mais le parfum de la sagesse remonte le vent. Dans toutes les directions, l’homme sage répand le parfum de sa vertu. » Passage du Dhammapada référence de lecture bouddhiste.
« Balade Vietnamienne »
Pour les autorités Vietnamiennes, le tourisme n’est plus gênant mais considéré comme une ressource économique. Après une dure répression, la perle de l’Orient a perdu de son éclat mais garde tout son charme. A Ho Chi Minh Ville un million de vélos et 10 000 cyclo-pousses se doublent, se frôlent et se croissent dans la plus admirable pagaille. Spectacle total : odeurs fortes et acres sont à savourer dans une marée humaine, bruyante mais jamais avare de sourire. Les femmes coiffées du traditionnel chapeau conique, trottinent, courbées sous le poids des paniers en osier remplis de légumes, de volaille ou d’enfants. De cette région du monde dont nous ne connaissions que l horreur de la guerre, nous avons préféré rapporter des images de la vie quotidienne. Images prises en 1950, 1990 et 2011 par Paul Almasy et Thierry Penneteau.
« Sous le chapiteau »
Les caravanes, les tentes, le chapiteau s’installent. On s’occupe des animaux. La visite de la ménagerie peut déjà commencer. Il y a une tradition des familles du cirque, plus ou moins célèbres. Les mêmes numéros se répètent parfois de génération en génération. Souvent on y est né bien que des écoles de cirque se soient créées. Au cirque, on vient pour rire avec les clowns, avoir des sensations fortes avec les trapézistes, admirer le courage des dompteurs, s’interroger après un numéro de magie. C’est un spectacle féérique. Avec quelquefois trois représentation dans la même journée, la répétition ou la création des numéros, c’est un rythme éprouvant. Il est 23 heures 30, la grande parade des artistes quitte la piste en musique. Les clowns retirent leurs faux nez et se démaquillent, les animaux regagnent leurs cages, les garçons de piste rangent les accessoires, les lumières s’éteignent. Tout le monde revient pour démonter le grand chapiteau. Demain une autre ville où l’on donnera encore et toujours du bonheur aux petits et aux grands.
« Danse autour des yourtes »
En Mongolie, la steppe appartient au cavalier. Plus que partout le cheval y est roi, c’est un symbole de puissance, puisque Gengis Khan a fait trembler l’Europe avec ses hordes infernales. La Mongolie a une superficie de 1,565500 km2 pour 2,45 millions d’habitants et 25 millions d’animaux. Aujourd’hui la Mongolie s’est lancée dans une économie de marché, mais le départ des soviétiques et la fin du système communiste a fait péricliter le système social. Les hôpitaux se délabrent, les écoles ferment. Les Mongols retournent de plus en plus à la steppe où ils peuvent vivre en quasi-autarcie, se regroupant à quelques ghers ( yourtes ). Le bétail fournit le lait et le fromage, les excréments séchés des animaux servent de combustible. Le steppe se repeuple comme jadis. La population accueillante à majorité Bouddhiste, espace démesurés, temples aux couleurs éclatantes, la Mongolie fait partie de ces pays de rêve qu’il faut visiter rapidement.
« Shooley, Shooley »
Le Ladakh, une région oubliée du monde, mais qui a gardée toute son authenticité. En dépit de son nouveau statut politique de province indienne, le Ladakh n’en demeure pas moins un pays de civilisation Tibétaine. D’ailleurs son surnom de petit Tibet lui va à ravir. En effet du point de vue géographique, le Ladakh appartient a plateau Tibétain dont il occupe la partie la plus occidentale. Cette région se situe au cœur de l’Himalaya à une altitude comprise entre 3000 et 5000 mètres. L’approche ethnologique souligne une forte influence de parenté entre Ladakhis et Tibétains étant, un patrimoine linguistique, artistique et religieux. Le Bouddhisme a tissé au fil des siècles une trame philosophique si profonde qu’elle unit ces deux peuples par delà toutes les contingences politiques. L’influence de cette spiritualité commune est telle que beaucoup d ‘entre eux, partagent le sentiment d’appartenir à un même peuple.
« Regard sur l’Equateur »
Lorsque l’on demande à un indien des Andes quelle est sa nationalité, il répond Runa ( homme). Les indiens vivent en collectivité. Leurs traditions et leurs organisations sont héritées de groupes qui, bien avant l’arrivée des Incas vivaient en autarcie. Les communautés des hauts plateaux encore très importantes , représentent 30% de la population. Etre indien, c’est parler le Quechua ou l’Aymara langue pratiquement plus reconnues. C’est aussi se sentir fils de la déesse terre la pacha Mama. En prenant le petit train entre Quito et Ambato, le voyageur découvre des paysages d’une splendeur à couper le souffle, la vallée des volcans l’emmène dans un tourbillon où il rencontre un peuple très chaleureux.
« L’Egypte »
Découvrir l’Egypte c’est remonter le long de la vallée du Nil au temps des pharaons et c’est, avec le Caire, pénétrer dans l’une des plus extraordinaires mégalopoles. La vallée du Nil est, de toutes les grandes vallées du monde, l’une des premières à avoir donné à la civilisation, sa chance. C »est en 1080kms, parcourir 5000 ans le long d’un chemin verdoyant où l’homme répète depuis le début des temps ces même gestes ancestraux. Un voyage en Egypte, c’est d’abord une extraordinaire aventure archéologique, mais c’est aussi le découverte d’un des peuples les plus attachants. Des hommes sur leurs petits ânes passent le long du Nil. Des femmes descendent par deux ou trois dans leurs grandes robes noires, une amphore posée sur la tête, pour la remplir au puits. L’Egypte c’est aussi regarder les couleurs ocres du coucher de soleil sur les temples de Karnak, d’Abou Simbel , de Philae et de bien autres encore …..
« La Mauritanie »
La Mauritanie est un état d’Afrique, situé au sud ouest du Sahara occidental. Le pays est constitué en grande partie de désert, peuplée d’agriculteurs, elle fut envahie vers le IV siècle par des nomades berbères qui introduisirent le chameau. Comptant aujourd’hui parmi les pays pauvres les plus endettés, la Mauritanie essaie de privilégiée le tourisme et plus particulièrement à la découverte de son désert qui reste l’un des plus beau au monde. La ville de Chinguetti, réputée pour ses bibliothèques remplies de manuscrits, était considérée comme la septième ville sainte de l’islam. La découverte de ce joyau est extraordinaire. Les dunes de l’erg Amatlich, l’erg Ouaranne, la vallée blanche, le plateau de l’Adrar, les villes de Ouadane et de Chinguetti font de cette partie de la Mauritanie un très agréable séjour pour tous les passionnés de désert.
« A la rencontre du peuple Chinois »
La vie quotidienne dans le sud de la Chine de Canton à Chengdu jusqu’aux portes du Tibet . La Chine, état d’Asie orientale est de par sa superficie le troisième pays du monde. Grand comme dix huit fois la France, elle partage plus de 20000 kms de frontières continentales avec douze pays et possède plus de 5000 iles en mer de Chine. Le peuple Han constitue environ 92% des Chinois, le reste est composé par des minorités ethniques. Il suffit de se promener dans le sud de la Chine au moment des récoltes pour entrevoir une réalité dont l’harmonie saute aux yeux. : Vallons en terrasses où s’active une population qui bat le riz de manière ancestrale et minorités en costume traditionnel. L’œil, instrument d’une première transformation, permet de voir le monde, mais aussi d’interpréter, de trier, de photographier. Tout au long de l’exposition, mille petits tableaux dont on ne se lasse pas : marchés, coiffeurs en plein air, récolte du thé, vie quotidienne
« Lecteurs du monde »
De nos jours, on peut observer que la lecture devient de moins en moins populaire chez les jeunes. Pourtant, il faut insister sur le fait que l’habitude de lire peut certainement présenter de nombreux avantages.La lecture développe la pensée créative : l’esprit des lecteurs commence à travailler immédiatement une fois qu’ils se mettent à lire. Lorsque nous lisons, notre imagination se transporte tout de suite dans un monde complètement nouveau. Comme a dit Balzac « J’ai accompli de délicieux voyages, embarqué sur un mot ». La lecture est donc une ouverture sur un monde enchanté qui nous fait rejoindre l’auteur dans sa démarche d’écriture et de narration. On s’identifie au héros, on épouse ses aventures, ses sentiments; on sort ainsi de nous-mêmes et on vit plusieurs vies. Le fait de lire aide à enrichir son vocabulaire et à renforcer son emprise sur la langue. Chaque fois que nous lisons, nous rencontrons plusieurs mots nouveaux. La lecture nous permet de faire travailler notre mémoire, de réviser sans effort notre orthographe et d’apprendre à s’exprimer correctement. Ainsi, notre maîtrise de la langue devient plus forte et nous en saisissons toutes les nuances. La lecture est un moyen d’épanouissement et de développement personnel. Lire nous aide à accumuler des idées, à s’instruire et surtout à forger notre esprit critique. En somme cela nous invite à mieux comprendre et maîtriser le monde au lieu de le fuir. C’est une activité culturelle importante qui rend les gens plus ouverts et plus tolérants. Elle nous apporte alors une interprétation nouvelle du monde, et probablement une culture plus approfondie. Elle va élargir notre horizon en nous faisant connaître les autres cultures. Par conséquent, elle nous incite à sortir de notre sphère étroite, à déverrouiller notre regard sur le monde, à atténuer nos différences et à s’accrocher aux valeurs universelles. Simone de Beauvoir a dit : « La lecture est la clé qui m’ouvrait le monde ». Ainsi, la lecture est un éveil de l’âme et du cœur. Une jouissance de la pensée et des sentiments. C’est pour cela qu’il devient très important d’encourager et d’entretenir l’acte de lire dans les années formatrices de la vie. Un enfant qui lit sera un adulte qui pense
« De Amman à Damas »
Le berceau de l’une des plus anciennes civilisations du monde. Si la Jordanie et la Syrie se trouvaient dans une autre parité du globe, elles seraient envahies par les touristes du monde entier, mais leur situation au cœur du proche-orient les pénalise. Ces deux pays sont habités par des peuples sédentaires depuis environ 11000 ans. L e nombre de sites archéologiques a de quoi rassasier les plus mordus de vielles pierres. Les vestiges datent des civilisations phénicienne, grecque, romaine, byzantine. Les nabatéens édifièrent la cité de Petra en Jordanie, les Palmyriens défièrent Rome et laissent derrière eux le site magique de Palmyre. Le désert du Wadi Rum, lieu de prédilection de Lauwrence d’Arabie mérite un détour pour les passionnés de désert. Ces pays sont peu visités mais que de merveilles à y découvrir.
« Cambodge et Laos »
Le Cambodge est situé dans la péninsule Indochinoise. C’est un pays de plaine avec une partie donnant directement sur le golfe du Siam. Une immense étendue d’eau, le lac Tonle Sap rythme la vie de millions d’habitants. En effet le lac se remplit lors des moussons d’avril à octobre et diverses activités de pêche y sont menées pendant cette période. Le lac est l’un des plus poissonneux au monde et la plupart des fermiers quittent les rizières pour devenir pêcheur à temps partiel. Le Cambodge est surtout connu pour son site d’Angkor. Longtemps, les joyaux architecturaux de la cité d’Angkor sont restés inconnus du grand tourisme mondial. C’est grâce au botaniste français Henri Mouchot qui, de par ses illustrations, éveilla l’intérêt de l’Europe vers 1860 pour cet endroit merveilleux. La capitale Khmer, qui se développa entre le IX e et le XVe siècle fut régulièrement explorée. La France travailla plus de 70 ans à la conservation des monuments. La guerre et l’arrivée des Khmers rouges en 1975 au pouvoir, stoppa toutes les fouilles. En 1992 l’Unesco classa le site en tant que patrimoine mondial en péril. De par la gentillesse du peuple Cambodgien et la beauté unique d’Angkor, un séjour au Cambodge est indispensable pour les passionnés d’histoire et de voyage.
Longtemps fermé aux voyageurs, le royaume du » million d’éléphants » devient une république démocratique en 1975. Ce petit pays, qui fait partie des nations les plus pauvres, sait combien il est difficile de préserver son indépendance. De ce fait, il ouvre progressivement ses frontières aux touristes qui désirent s’y aventurer. Pour bien apprécier le charme subtil du Laos, il faut être humble et respectueux des traditions. Cette attitude permettra une découverte des temples, témoins de la splendeur des anciens royaumes. A Luang Prabang, le lever du soleil est ponctué par l’aumône des bonzes en quête de boulettes de riz offertes par la population. A nord, on traversera les campagnes verdoyantes où les paysans s’activent à la culture du riz. Les marchés offriront aux voyageurs des surprises : iguanes, serpents, grenouilles, criquets, sauterelles ornent les étals des commerçants. L’ouverture du Laos rime-t-elle avec la conservation de son authenticité ? Les laotiens vont-ils résister à l’appel de la civilisation de consommation ? Un séjour dans ce petit pays, empreint de douceur et de simplicité, nous fait goûter l’harmonie entre la nature et les hommes.
« Venise et son carnaval »
C’est en 453 que commence l’histoire de Venise lorsque les huns conduits par Attila envahissent l’Italie du nord. Les habitants de la région trouvent alors refuge sur des ilots. Au début, ils ne s’y installent que provisoirement mais les envahisseurs successifs poussent les vénètes à s’y établirent définitivement. Le temps, les hordes de touristes, les foules ne bouleversent pas ce mélange de palais, de canaux, et de places. Venise est une carte postale, le pont des soupirs, la place saint marc, le grand canal, le pont du Rialto, les gondoles, la Salute, le palais des doges et bien d’autre encore font de Venise un lieu magique. Burano, petite île de pêcheurs, animée et très colorée se destine essentiellement à la dentelle. De petites maisons cubiques de couleurs animent joyeusement cet endroit. Jadis les femmes de pêcheurs utilisaient ces couleurs pour que les marins puissent repérer de loin leurs foyers. De toutes les fêtes d’Italie, le carnaval fut la plus populaire; l’Europe entière, avide de plaisirs, envahissait la cité des Doges. Carnaval, mot étrange, cette expression proviendrait du latin » Carmen Levare » ou privé de viande annonçant le carême. Le carnaval est avant tout une transgression de l’interdit, on se cache derrière un masque pour s’autoriser un fantasme, un désir ou une moquerie. Les masques étaient interdits à Venise: une loi de 1268 en autorise le port pendant le carnaval mais aussi durant une période de six mois de l’année. A l’époque ou Venise fut rattachée au royaume d’Italie, le carnaval disparut. Il fallut attendre 1970 pour qu’il renaisse à l’initiative d’étudiants et de commerçants soucieux de redonner une gaieté à la ville. Maquillages, masques et costumes refirent leur apparition pour en faire l’un des plus beaux carnavals du monde. Quelle ville, autre que Venise, pouvait mieux servir d’écrin à l’accomplissement de cette cérémonie païenne? Quand arrive Mardi gras, une trainée de folie enflamme Venise, la ville ouvre alors ses bras à tous les amoureux de la fête et du voyage.
« Myanmar terre oubliée »
Le Myanmar reste un pays mystérieux, pratiquement coupé du monde extérieur, sans cesse déchiré par les luttes. Pourtant le pays possède certains sites des plus féeriques au monde telle la cité de Pagan ou la pagode Shewadagon. Ces habitants sont très accueillants malgré un régime politique considéré comme un des plus dure du globe. De tous temps les conflits ont parsemé l’histoire de ce pays, sa population se répartit en trois ethnies : Birmans, Mons et Thaï. Les Birmans d’origine de l’est de l’Himalaya, arrivèrent vers le VIIIe siècle et occupèrent le centre du pays. Quelques siècles avant, les Mon venant du Cambodge s’installèrent au sud et les Thaï dont la frontière est toute proche, dans les montagnes du nord. Ce merveilleux pays reste difficile d’accès de par ses nombreux problèmes politiques. En 1990, le gouvernement en place croyant avoir enrayé l’opposition, autorisa les premières élections dites libres depuis trente ans. Mais le parti d’Aung San Suu Kyi remporta 392 des 485 sièges. Malgré cette victoire de l’opposition, le gouvernement en place interdit aux membres élus d’exercer leur pouvoir. Cette même année l’armée envahit les locaux de l’opposition et arrêta ses leaders. La presse internationale accorda peu d’importance aux événements. En 1991 d’Aung San Suu Kyi reçut le prix Sakharov pour la liberté de penser en en octobre de la même année le prix Nobel de la paix. Des élections générales ont eu lieu en novembre 2010, les premières depuis vingt ans. Bien qu’elles n’aient pas répondu aux normes démocratiques, le gouvernement qui en est issu s’est engagé dans des réformes à partir de la fin de l’été 2011. Le Président a établi un semblant de dialogue avec Aung San Suu Kyi et a fait libérer plusieurs centaines de prisonniers politiques. Le parti d’Aung San Suu Kyi, réintégré après avoir été exclu des législatives de 2010, a remporté la quasi-totalité des 45 sièges en jeu aux élections partielles du 1er avril 2012. Aung San Suu Kyi commence à faire entendre sa voix et se projette désormais dans la perspective des élections de 2015. Son accès à la fonction présidentielle est néanmoins conditionné à la révision de la Constitution. Le Myanmar reste un pays de dictature où la liberté d’expression reste bafouée et punie.
« La Namibie »
La Namibie présente un visage méconnu de l’Afrique. Elle porte le nom de son désert. Un désert hostile et dangereux qui attire de plus en plus de touristes à la recherche de sensations fortes. Le pays préserve son environnement en limitant l’afflux de visiteurs. Certaines régions restent très difficiles d’accès. Colonie Allemande jusqu’à la première guerre, elle vient juste d’être libérée de la tutelle Sud Africaine. Environ deux millions d’individus vivent sur cette terre rouge. L’ethnie la plus connue, les Himbas, se concentre au nord ouest du pays en limite de l’Angola dans le Kaokoland. Les Hereros, les Sans forment d’autres groupes ethniques. Le désert namibien appelé Namib est très caractéristique de par sa couleur ocre qui serait due à l’oxydation du sable. Les dunes de Sossusvlei font partie des sites les plus photographiés. La beauté des lumières et des paysages ne laisse aucun voyageur indifférent. Pour les amoureux de la nature, le parc d’Etosha est un petit paradis, les animaux sauvages peuvent être approchés et observés. Lions, zèbres, éléphants, springboks, girafes et bien d’autres encore se découvrent au détour d’un chemin ou à proximité d’un point d’eau. La Namibie reste une des rares et belles destinations Africaines qui transporte le visiteur très loin de la folie galopante de l’industrialisation.
« Madagascar »
Cinquième île du monde en dimension, Madagascar s’étend sur une superficie plus grande que la France et le Benelux réunis. Cette île offre une incroyable diversité de paysages. La flore et la faune présentent un caractère original, voire unique : plantes carnivores, caméléons, lémuriens pour ne citer que les principaux. Madagascar compte 11 réserves naturelles, 3 parcs nationaux et 23 réserves spéciales. Toutes ces zones représentent un patrimoine national et même mondial d’une richesse impressionnante. Les ethnies qui peuplent l’île l’ont marquée de leurs cultures. Les influences indonésiennes, Africaines, Arabes et Européennes s’y côtoient harmonieusement. Le mystère du peuplement de l’île reste une énigme. Une seule chose est certaine: l’homme n’est pas né à Madagascar, cette terre fut avant tout le territoire des autruches « éléphant ». Une double influence Asiatique et Africaine transparaît dans les traits physiques, socioculturels et les techniques utilisées du pays. Ainsi la pirogue à balancier, les méthodes de pêche et de chasse, l’architecture des maisons, le culte de l’ancêtre, l’usage de la politesse rappellent l’Indonésie si proche. Tandis que l’importance du bétail comme signe de richesse, les poteries ou la circoncision les relient directement à l’Afrique. Madagascar est un vrai casse tête ethnologique. Il suffit de regarder la foule au marché du zoma, teints jaunes, noirs ou cuivrés, cheveux crépus ou lisses, yeux bridés ou grands et bien ronds. Il existe 18 groupes ethniques reconnus dans le pays. L’arrivée dans la capitale Tananarive ou Antananarivo reste un moment magique, cette ville si belle durant le jour change rapidement lorsque le soleil commence à décliner. Après ces instants de douceur, de demi-teinte, éclate le grand spectacle du coucher de soleil. Comme si un artiste fou avait déversé sur la ville des pots de couleurs, maisons, rues, collines se transforment en une toile digne des plus grands noms de la peinture. Malheureusement ces moments sont très courts et sans aucune transition la nuit tropicale dévore le pays. Madagascar fait partie de ces endroits du monde qui restent à découvrir. Alors, voyageur du monde n’hésitez plus……
« La magie de la mer »
Baudelaire a écrit « homme libre, toujours tu chériras la mer ». La mer a longtemps été vue par les hommes comme un milieu hostile et dangereux, servant essentiellement de réserve naturelle en protéines à travers la consommation de poisson. Puis, au moment du romantisme au début du 19e siècle, la mer a inspiré les peintres, les poètes et les écrivains qui ont alors célébré sa beauté. Puis, au 20e siècle, les bains de mer et la thalassothérapie ont encore transformé notre vision de cet élément en source de bienfaits. La mer, aux couleurs si changeantes, au calme capricieux, apaise ou inquiète mais ne laisse personne indifférent. Protégeons-la afin de profiter longtemps de sa beauté.
« L’érrance »
Hiver 1993 : 15 personnes retrouvées sans vie sous nos fenêtres.
Février 1994 : l’Abbé Pierre lance son deuxième appel.
Hiver 2008 : l’Abbé Pierre n’est plus, on parle de plus en plus de solidarité mais la société n’avance pas.
A la fin des années 1980, le Rmi et le minimum vieillesse sont instaurés mais la guerre contre la misère a t-elle vraiment été décrétée ?
La plupart des Sdf vivent une situation dramatique. Dormant, si l’on peut dire, dans des squats, des maisons abandonnées, des gares, dans le métro, au dessus des bouches d’air chaud ou en entassant des cartons au coin des portes. Ils doivent garder l’œil ouvert 24h sur 24h car ils vivent dans un monde sans pitié. Leurs besoins : se nourrir, se laver, travailler, dormir, se soigner, recevoir du courrier, être domicilié, ne plus marcher, poser leur affaires en sécurité, récupérer leur droits, être écoutés. Pendant ce temps la bourse reprend du poil de la bête, la richesse revient à la richesse. Les profits sont distribués à une minorité.
2014, la misère ne cesse de grandir. 2015 l’afflux de migrants ne va rien arranger et pourtant nous ne pouvons pas rester insensible. La totalité de cette location est reversée à une association caritative.
« Carnaval Antillais »
Chaque année, en février, le carnaval prend sa place dans le monde. Aux Antilles, on le prépare un an avant, pour qu’il puisse être présent sous toutes ses formes le jour venu. Hommes, femmes et enfants se rassemblent dans les rues et de là nait une explosion de couleurs et de joie. Un vent de folie envahit les êtres pendant plus d’une semaine. Au son des percussions, les participants entre dans le jeu et tous les mouvements deviennent un spectacle.
« La Bretagne »
Entourée de deux mers, la manche et l’océan atlantique, la péninsule armoricaine jouit d’un climat océanique. Partout la terre et la mer se rencontrent d’étrange façon : en cotes déchiquetées battues par les vents ou tout doucement dans les abers ou l’eau entre deux fois par jour au gré des marées. Que l’on se promène sur les sentiers côtiers, que l’on visite les églises et les ports, ou que l’on flâne dans la forêt de Brocéliande, la magie de merlin l’enchanteur nous envahie. Les Bretons sont de fiers défenseurs de leur culture et de leurs traditions. Les bars sont des lieux de rencontre extraordinaires où les générations échangent leur expérience de la mer, les chants de marins sont connus de tous. Pour celui qui prendra le temps, la Bretagne sera un lieu de rencontre et de dépaysement exceptionnel.
« La Turquie »
En Turquie, civilisations orientales et occidentales se confondent et se confrontent. Les invasions Hittites, Achéménides, Grecques, Romaines et Ottomanes ont laissés des traces que n’a pas effacées Atatürk, le premier président qui édifia les fondations de la Turquie moderne. Istanbul, anciennement Byzance, puis Constantinople est situé sur la frontière entre l’orient et l‘occident. Capitale de l’Empire Ottoman jusqu’en 1923. Istanbul, malgré de nombreuses destructions, conserve des édifices somptueux qui témoignent de sa grandeur architecturale. Les noms de mosquée bleue, Sainte Sophie, palais de Topkapi ou corne d’or ont fait rêver de nombreux voyageurs. Pierre loti aimait y séjourner, aujourd’hui encore de nombreux écrivains y puissent leurs inspirations. La Cappadoce est cet endroit du monde qui fascine les voyageurs. Le touriste qui parcourt la Cappadoce sera émerveillé par les cheminées de fées appelées peribica par les autochtones. Province rurale où chaque pierre est gravée d’histoire. La vallée de Goreme est considérée comme une merveille du monde du point de vue géologique. Chaque paysage ressemble à l’œuvre d’un aquarelliste ou la lumière devient artiste en y déposant ses touches de couleurs. Istanbul, Ephese, la Cappadoce et bien d’autres facettes de ce joyau, laisseront au voyageur un souvenir inoubliable.
« Voyage dans les Andes »
Le Chili s’étire sur 40200 kms de long et sa largeur ne dépasse pas 180 kms. Ce petit pays andin possède de vastes terres antarctiques et une diversité de milieu naturel alliant des zones désertiques jusqu’à l’extrème polaire. Diego de Almagro découvre le Chili en 1536. Pedro de Valdivia fonde les villes de Santiago et de Conception. Il faudra près de trois siècles aux espagnols pour s’imposer face aux indiens. Ce petit pays ravira le voyageur au point de vouloir y séjourner plusieurs fois. La gentillesse des Chiliens et la beauté des paysages font de ce pays un émerveillement permanent.
La géographie du pays fait de la Bolivie une destination privilégiée avec les déserts du sud, les sommets de la cordillère des Andes ou les grands espaces verts de l’Amazonie. Célèbre par des grands noms tels que Bolivar, Patino, Che Guevara ou La Paz, la Bolivie puise son histoire dans les gens simples. Neuf millions d’habitants dont soixante dix pour cent sont des paysans qui vivent dans leur grande majorité entre 3000 et 4000 mètres d’altitude dans une région appelée altiplano. Le voyageur découvre grandeur avec le Salar d’Uyuni, le lac Titicaca et misère avec les mines de Potossi où les ouvriers travaillent dans des conditions déplorables. Un voyage en Bolivie ne laissera personne indifférent, la beauté des paysages et la gentillesse des Boliviens ravira celui qui ira à leur rencontre.
Le Pérou, troisième pays d’Amérique Latine de par sa superficie présente trois bandes parallèles : la côte pacifique à l’ouest, la cordillère des Andes au centre, plaines et forets à l’est. Né sur le lac Titicaca des amours du soleil et de la lune, le mythe Inca a donné naissance à une civilisation raffinée et conquérante. Traqué par les conquistadores, l’Inca a construit d’incroyables sites perchés dans les nuages entre 2000 et 5000 mètres d’altitude. Ces constructions attestent d’une intelligence et d’une organisation hors normes. Le Pérou actuel est un savant mélange de piété catholique et de croyances indiennes. Cuzco, lac Titicaca, Machu Pichu, Pisac et les nombreuses autres ruines Incas font rêver les voyageurs du monde entier et sont à découvrir sans modération.
Adossée à la cordillère des Andes, l’Argentine est formée de plateaux et d’immenses plaines. Le nord du pays est subtropical, le centre est tempéré tandis que le sud est froid et aride. La population est constituée de descendants d’Espagnols et d’italiens : elle se concentre dans les villes. L’agriculture est variée, les céréales et les oléagineux sont les principales productions de la Pampa tandis que les vignobles envahissent le sud. De petites tribus indiennes peuplaient le pays avant l’arrivée des Espagnols. La capitale, Buenos Aires fondée en 1536,a été détruite par les indiens et reconstruite en 1580. Un voyage en Argentine nécessite une bonne préparation physique ; les distances sont immenses et les conditions climatiques varient du simple au double selon l’endroit. Le Perito Moreno, immense glacier s’étire sur 52 kms de long et avance d’une centaine de mètres par an. Des noms comme Ushuaia, Terre de feu, Iguaçu, Patagonie, Torres del Paine ou Buenos Aires font rêver et ne sont pourtant pas inaccessibles au touriste qui s’y prépare.
« Le Sri Lanka »
Quand on évoque le Sri Lanka, des images surgissent immédiatement : éléphants, jungle, sourires, rizières, varans, temples, thé… Tout se mélange dans la tête du voyageur. Cette île était appelée Taprobane sur la carte de Ptolémée . Une civilisation prospère se développa dans des villes comme Anuradhapura et Polonnaruwa. Le bouddhisme fut introduit au IIIe siècle par l’empereur indien Ashoka. Mythe ou réalité ? On ne sait trop. Alors on file les yeux fermés vers cette destination. Et si l’on s’aperçoit bien vite que les villes n’ont pas grand intêret, la nature et les Sri Lankais respirent la beauté et la générosité. Depuis le 22 mai 1972, Ceylan a repris un nom utilisé autrefois : Lanka, « l’ île resplendissante », et l’a fait précéder de« Sri » qui est une lettre sacrée. Le Sri Lanka fut donc envahi successivement par les Arabes puis par les Portugais, les Hollandais et enfin les Anglais . Ce sont ces derniers qui ont laissé l’empreinte la plus indélébile : petits cottages, terrains de golf, cours de cricket… Tout ceci fait du Sri Lanka une petite Angleterre. Ajoutons une fleur de lotus en guise de bienvenue, un rayon de soleil, un sourire…. Le décor est planté et cette petite île attend votre visite.
« De Rio à Ouro Preto »
Le Brésil compte parmi les destinations les plus fascinantes de ce continent. Avec une biodiversité d’une richesse incomparable, aucune autre région ne rassemble autant d’espèces animales et végétales. Plages de sable blanc, forêts tropicales, villes démesurées, charmantes petites villes coloniales, îles paradisiaques, fonds marins et population attachante. Ses atouts sont on ne peut plus variés, chacun pouvant y trouver son bonheur pour passer d’agréables moments. L’état de Rio de Janeiro reste un séjour combinant plages, forets, villes, villages. Rio ville démesurée avec ses plages de Copacabana, d’Ipanema, son pain de sucre, le christ du corcovado et ses innombrables quartiers. Rien que cette ville vous tiendra une bonne semaine, ensuite Ilha grande, ile paradisiaque loin de la folie urbaine avec ses plages et ses sentiers de randonnées, la petite ville de Paraty qui a gardé son charme colonial. Puis un peu plus loin les villes de Tiradentes et d’Ouro preto dans le Minas gerais. Pour revenir sur la côte en passant par la charmante petite ville de Buzios que l’on appelle là bas la Saint Tropez du Bresil. Pays tellement grand qu’un seul séjour ne suffit pas, alors si ce pays vous attire n’attendez plus.
« Bienvenue à Cuba »
Un voyage à Cuba oblige à une perpétuelle adaptation. À peine croit-on l’avoir comprise qu’elle vous déconcerte par une nouvelle énigme. C’est bien là tout son charme… Dès votre arrivée, vous serez confronté à toutes sortes de chocs et de paradoxes car Cuba du XXIe siècle ne ressemble à aucune autre destination au monde. Économiquement pauvre, mais culturellement riche, délabrée mais dotée d’une architecture éblouissante, Cuba est à la fois étrangement euphorisante et exaspérante. Les subtilités de cette île résultent de son histoire : une saga trépidante, marquée par la colonisation espagnole, l’esclavage, l’indépendance, la création d’une république et une Révolution. À mi-chemin entre les États-Unis au nord et l’Amérique latine au sud, l’archipel lutte depuis longtemps pour trouver sa place. Cuba, la perle des Antilles est l’état le plus grand des Caraïbes. Aujourd’hui on peut parcourir le pays en solitaire. Visiter ses villes coloniales, pénétrer sa culture, se poser sur ses innombrables plages, voir ses paysages enchanteurs comme la vallée de Vinales et gouter à ses cigares ou s’enivré de son rhum. Tiraillée entre les Etats Unis et les soubresauts d’un régime en train de disparaître, Cuba n’en finit pas de rêver et de faire rêver. Les villes comme La Havane, Trinidad, Sancti Spiritus et d’autres encore laissent imaginer la gloire disparue. Mélange de vitalité et de fascination, l’île offre au delà de sa pauvreté, les rendez-vous baroques où s’affirment ses racines africaines et latines. Cuba réserve de merveilleuses surprises à celui qui sortira des sentiers battus. La rencontre avec un peuple d’une gentillesse extraordinaire ne vous fera jamais regretter votre séjour sur la terre d’adoption du Ché.
« Voyage en Noir et blanc »
Photographies noir et blanc prisent dans divers lieux du monde qui constituent un ensemble permettant de parcourir le monde le temps d’une exposition.
« Japon »
Mélange de traditions et de modernité, le Japon intrigue et fascine. Pour le comprendre, il vous faudra vous mêler à la trépidante vie de Tokyo, visiter les temples de Kyoto, gravir le mont Fuji… mais aussi partir à la recherche d’un autre Japon, plus secret. Bien que le séisme et le tsunami du 11 mars 2011 et leurs conséquences rendent difficiles les voyages dans certaines régions, de très beaux endroits restent à découvrir, et notamment le Kansai. Les temples de Kyoto restituent à la perfection ce mélange de tradition et de modernité qui caractérise le Japon. Le voyageur au Japon a donc l’impression de débarquer sur une terre qui lui offre tous les extrêmes : D’une manière générale, les grandes villes de l’archipel comme Tokyo ou Osaka offrent la vision démesurée de gratte-ciels illuminés en permanence par les écrans géants et les néons publicitaires, de rues sillonnées par des hordes d’hommes d’affaires et de jeunes lolitas. Face à cet ultramodernisme débridé, les havres shintoïstes et bouddhistes n’en paraissent que plus paisibles. Chaque année, du 13 au 17 avril, le sanctuaire de Futarasan-jinja à Nikko organise l’un de ses événements les plus anciens et les plus populaires. Vieux de 1200 ans, ce festival, qui remonte à la période Yayoi, célèbre l’arrivée du printemps afin d’attirer la chance pour l’année à venir
Préparez-vous à toutes les surprises et bienvenue au Japon…
« Des Dieux et des Hommes »
Le terme latin religion a été défini pour la première fois par Cicéron comme « le fait de s’occuper d’une nature supérieure que l’on appelle divine et de lui rendre un culte ». Dans les langues où le terme est issu du latin, la religion est souvent envisagée comme ce qui concerne la relation entre l’humanité et Dieu. Dans le Coran, le terme dîn, qui peut être considéré comme équivalent de celui de religion, désigne avant tout les prescriptions de Dieu pour une communauté. En chinois, le terme zōng jiào, inventé au début du XXe siècle pour traduire celui de religion, est connoté de l’idée d’un enseignement pour une communauté. Le bouddhisme est souvent considéré comme religion bien qu’il n’y soit question ni de Dieu, ni de nature divine. La religion peut être comprise comme les manières de rechercher et/ou trouver des réponses aux questions les plus profondes de l’humanité. En ce sens elle se rapporte à la philosophie. Elle peut être personnelle ou communautaire, privée ou publique. Elle peut aussi se reconnaître dans la définition et la pratique d’un culte, d’un enseignement, d’exercices spirituels et de comportements en société. La question de savoir ce qu’est la religion est aussi une question philosophique, la philosophie pouvant y apporter des éléments de réponse, mais aussi contester les évidences des définitions qui en sont proposées. Historiquement, les religions conçues comme des ordres dans lesquels est recommandé ce qu’il faut faire et ce qu’il faut croire, sont apparues avec les partis religieux s’opposant les uns aux autres dans l’Europe du XVIe siècle. Ces partis sont en premier lieu ceux catholique et protestant, ainsi que la diversité des confessions protestantes. L’usage de désigner ces partis comme « des religions » apparaît à la fin du XVIe siècle, tandis que, par extension, il commence aussi à être question de « religions » à propos de l’islam, du bouddhisme, du taoïsme, de l’hindouisme, du Shintoisme, du Judaisme et toutes les religions du monde depuis les origines de l’humanité. Dès lors a commencé à se poser la question toujours irrésolue de savoir ce qu’est la religion ou une religion en fonction des innombrables religions du monde. Selon Pierre Gisel, la question de savoir ce qu’est une religion est une question ouverte : faut-il se contenter de penser que les religions ont toujours une forme institutionnelle avec un clergé, des pasteurs, des imams, des moines ou des gourous, ou considérer aussi comme de la religion les pratiques de développement personnel touchant des domaines allant du sport à la philosophie, ainsi que ce que les libraires regroupent sous le terme générique d’ésotérisme ? Une religion est une manière d’envisager la relation entre les hommes et le divin, une façon aussi de concevoir le monde et de répondre aux grandes questions existentielles d’où venons-nous, pourquoi existons-nous, où allons-nous après la mort, y a-t-il un Dieu qui s’intéresse à nous…. C’est enfin également une manière de vivre, qui découle des croyances et du mode d’expression de celles-ci. De nombreuses religions se fixent comme but, parmi d’autres, l’amélioration de l’Homme.
Nouvelle expo
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